Est ce que j'ai besoin d'un exerciseur pelvien?
TEST
Est ce que cela s'applique à vous?
- quand je tousse ou j'éternue j'ai quelques gouttes d'urine qui s'échappent
- quand je cours j'ai parfois quelques gouttes d'urine qui s'échappent
- j'ai de la difficulté à me retenir quand je dois uriner
- la nuit je dois me lever pour aller uriner
- j'ai de la difficulté à aller à la selle
- je dois m'aider , en retenant au niveau du vagin pour mieux aller à la selle
- suite à une grossesse je ne ressent plus autant de plaisir lors de mes relations sexuelles
- même si je n'ai pas eu de grossesse, j'ai l'impression de moins ressentir quand j'ai des relations sexuelles
- je suis ménopausée et je pense que c'est normal de me lever la nuit pour uriner
- je fais des exercices pour renforcer le plancher pelvien mais je ne vois pas de différence
- j'ai une vessie hyperactive et je ne pense pas qu'il est possible de faire quelque chose pour aider
- je me considère comme une pisse minute... et je trouve cela normal
- j'ai de la difficulté à me retenir quand je dois aller à la selle
Si une de ces affirmations est exacte pour vous. Vous avez probablement besoin d'Elise......
Pour mieux comprendre comment fonctionne un exerciseur pelvien consultez l'onglet.
Que cela soit pour l’incontinence urinaire ou fécale, pour homme ou pour femme.
Mythes concernant les fuites urinaires
Il existe énormément de mythes et de croyances erronées au sujet de la santé de la vessie, surtout à propos des fuites survenant lors d'un éternuement, des chirurgies et des Kegels, soit les exercices pour renforcer les muscles du plancher pelvien. Voici les mythes les plus persistants au sujet de la vessie et les raisons pour lesquelles ce ne sont que des mythes, et non des vérités.
Mythe n° 1 : si j'arrête et continue mon jet d'urine, les muscles de ma vessie seront plus forts.
« Les Kegels sont une bonne idée, mais pas lorsqu'on urine », dit Roger Goldberg, M.D., directeur des recherches urogynécologiques de l'Evanston Northwestern Healthcare à Evanston, Illinois. « Les femmes qui arrêtent leur jet d'urine de façon répétitive peuvent développer une vessie hyperactive. »
Mythe n° 2 : une petite fuite lorsque j'éternue ou je tousse, c'est normal.
La fuite est chose fréquente, mais « on a tort de penser qu'elle est normale ou inévitable », dit Goldberg, auteur de Ever Since I Had My Baby: Understanding, Treating, and Preventing the Most Common Physical Aftereffects of Pregnancy and Childbirth. « Au moins 96 % des femmes atteintes d'incontinence d'effort peuvent être guéries. Cela se résume donc à : est-ce que le problème nuit à votre qualité de vie? Si c'est le cas, il existe plusieurs traitements. »
Mythe n° 3 : les fuites urinaires ne touchent que les personnes âgées.
« L'incontinence d'effort touche près de 50 % des femmes ayant accouché avant l'âge de 40 ans, » dit Goldberg. L'incontinence d'effort et la vessie hyperactive sont deux problèmes fréquents, même chez les jeunes femmes.
Mythe n° 4 : les Kegels m'éviteront d'avoir des problèmes, même en vieillissant.
« Les Kegels sont bénéfiques pour toutes les femmes, car un plancher pelvien plus fort réduit les risques de fuite urinaire », dit-il. « Mais pour grand nombre de femmes, les Kegels ne sont pas suffisants pour régler le problème, et une autre solution s'impose. »
Mythe n° 5 : je devrais toujours aller à la toilette, dès que je sens l'envie d'uriner. Vite, où se trouvent les toilettes propres les plus proches?
« Y aller au cas où peut être bien dans certaines situations, mais pour nombre de femmes, le fait d'agir ainsi de façon régulière peut augmenter le risque de vessie hyperactive, avec ses symptômes d'urgence, de fréquence et d'accidents en chemin vers la toilette », dit le Dr Goldberg. « En écoutant votre vessie à la lettre, vous risquez d'avoir des problèmes à long terme. » Il est mieux de se rendre à la toilette à une fréquence régulière, c'est-à-dire toutes les trois ou quatre heures. »
Mythe n° 6 : si j'ai un gros problème d'incontinence urinaire, la meilleure solution est la chirurgie.
« C'est le cas pour certaines personnes, mais pas pour tout le monde », dit Goldberg. « Vaut mieux commencer par un bon diagnostic pour confirmer les causes de votre incontinence. Dans des cas sévères, la chirurgie peut être la meilleure solution, mais cela dépend des résultats de votre examen de la vessie. »
Mythe n° 7 : je suis la seule femme de 20, 30 ou 40 ans à avoir ce problème.
« Comme nous l'avons mentionné précédemment, l'incontinence urinaire et la vessie hyperactive sont fréquentes, même chez les femmes plus jeunes », note Goldberg.
Mythe n° 8 : les exercices pelviens sont utiles seulement pour les personnes avec des troubles de la vessie.
« Il y a plusieurs raisons de faire les Kegels, par exemple pour maintenir la forme et avoir une bonne santé pelvienne », dit-il. « Par ailleurs, renforcer le plancher pelvien peut améliorer l'acte sexuel et éviter le prolapsus pelvien (état résultant de la chute des organes pelviens).
Mythe n° 1 : si j'arrête et continue mon jet d'urine, les muscles de ma vessie seront plus forts.
« Les Kegels sont une bonne idée, mais pas lorsqu'on urine », dit Roger Goldberg, M.D., directeur des recherches urogynécologiques de l'Evanston Northwestern Healthcare à Evanston, Illinois. « Les femmes qui arrêtent leur jet d'urine de façon répétitive peuvent développer une vessie hyperactive. »
Mythe n° 2 : une petite fuite lorsque j'éternue ou je tousse, c'est normal.
La fuite est chose fréquente, mais « on a tort de penser qu'elle est normale ou inévitable », dit Goldberg, auteur de Ever Since I Had My Baby: Understanding, Treating, and Preventing the Most Common Physical Aftereffects of Pregnancy and Childbirth. « Au moins 96 % des femmes atteintes d'incontinence d'effort peuvent être guéries. Cela se résume donc à : est-ce que le problème nuit à votre qualité de vie? Si c'est le cas, il existe plusieurs traitements. »
Mythe n° 3 : les fuites urinaires ne touchent que les personnes âgées.
« L'incontinence d'effort touche près de 50 % des femmes ayant accouché avant l'âge de 40 ans, » dit Goldberg. L'incontinence d'effort et la vessie hyperactive sont deux problèmes fréquents, même chez les jeunes femmes.
Mythe n° 4 : les Kegels m'éviteront d'avoir des problèmes, même en vieillissant.
« Les Kegels sont bénéfiques pour toutes les femmes, car un plancher pelvien plus fort réduit les risques de fuite urinaire », dit-il. « Mais pour grand nombre de femmes, les Kegels ne sont pas suffisants pour régler le problème, et une autre solution s'impose. »
Mythe n° 5 : je devrais toujours aller à la toilette, dès que je sens l'envie d'uriner. Vite, où se trouvent les toilettes propres les plus proches?
« Y aller au cas où peut être bien dans certaines situations, mais pour nombre de femmes, le fait d'agir ainsi de façon régulière peut augmenter le risque de vessie hyperactive, avec ses symptômes d'urgence, de fréquence et d'accidents en chemin vers la toilette », dit le Dr Goldberg. « En écoutant votre vessie à la lettre, vous risquez d'avoir des problèmes à long terme. » Il est mieux de se rendre à la toilette à une fréquence régulière, c'est-à-dire toutes les trois ou quatre heures. »
Mythe n° 6 : si j'ai un gros problème d'incontinence urinaire, la meilleure solution est la chirurgie.
« C'est le cas pour certaines personnes, mais pas pour tout le monde », dit Goldberg. « Vaut mieux commencer par un bon diagnostic pour confirmer les causes de votre incontinence. Dans des cas sévères, la chirurgie peut être la meilleure solution, mais cela dépend des résultats de votre examen de la vessie. »
Mythe n° 7 : je suis la seule femme de 20, 30 ou 40 ans à avoir ce problème.
« Comme nous l'avons mentionné précédemment, l'incontinence urinaire et la vessie hyperactive sont fréquentes, même chez les femmes plus jeunes », note Goldberg.
Mythe n° 8 : les exercices pelviens sont utiles seulement pour les personnes avec des troubles de la vessie.
« Il y a plusieurs raisons de faire les Kegels, par exemple pour maintenir la forme et avoir une bonne santé pelvienne », dit-il. « Par ailleurs, renforcer le plancher pelvien peut améliorer l'acte sexuel et éviter le prolapsus pelvien (état résultant de la chute des organes pelviens).